Jean-François Kahn, "collabo" de la Superstition

Publié le par Sylvain Saint-Martory

Avant-propos
Pour justifier par avance la grave accusation portée contre l’actuel directeur de l’hebdomadaire Marianne, je précise que la première lettre adressée à Jean-François Kahn remonte au 15 juillet 1997, alors qu’il dirigeait L’Evènement du jeudi.
Depuis lors, cette correspondance s’est élevée à une vingtaine de lettres, dans lesquelles je n’ai eu de cesse de dénoncer la Superstition dans ses divers modes d’expression : religion, métaphysique [Scientisme matérialiste et scolastique idéaliste], idéologie et moralisme.
Inutile de dire à ceux qui me lisent, mais d’autres n’ont pas dû le remarquer, que toutes ces lettres étaient dûment argumentées pour mettre en lumière les mensonges et les « croyances au miracle » de la Superstition, colportés par les « faiseurs d’opinion », ces soi-disant « élites » du monde de l’information, de la politique et de l’intelligentsia, sans oublier les donneurs de leçons de morale à sens unique et adeptes du « deux poids, deux mesures », à savoir les vertueux bien-pensants d’associations « droits-de-l’hommiste », prétendus chevaliers blancs ni plus ni moins « irréprochables » que vous et moi.
Or, même si je dois reconnaître que Jean-François Kahn est certainement celui qui a le plus souvent accusé réception de ce courrier, il n’a néanmoins jamais répondu sur le fond, se contentant de formules lapidaires destinées à me condamner sur le plan moral, mais sans oser apporter, une seule fois, des arguments contraires aux miens.
Ainsi en est-il de sa lettre du 5 courant, en réponse à mon courrier précédent, où il prend acte de ma lettre du 29 mars dernier pour se livrer à une attaque ad hominem sans le moindre argument contraire, ce qui est le lot des « vertueux », quand ils n’ont rien à dire sur le fond !
C’est pourquoi je publie ici ma réponse du 10 courant, où je l’accuse sans ambiguïté de « collaborer » avec la Superstition sous toutes ses formes, et de désinformer ainsi l’opinion.
Annexe : Lettre du 10 avril 2007 à Jean-François Kahn
Le 10 avril 2007
Monsieur Jean-François Kahn
Marianne
32 rue René Boulanger
75010 PARIS
Fax : 01 53 72 29 72
Monsieur,
A mon tour de prendre acte de votre lettre du 5 courant par laquelle vous témoignez, non seulement que vous ne comprenez rien au discours de Vérité des grands penseurs universels de l’humanité, évoqués dans mon courrier du 29 dernier, mais surtout de votre intention délibérée de continuer à colporter les mensonges et les « croyances au miracle » de la Superstition dans ses divers modes d’expression : religion, métaphysique [Doctrine matérialiste et scolastique idéaliste], idéologie et moralisme.
En outre, votre refus de débattre sur le fond met en lumière votre malhonnêteté intellectuelle, d’autant plus avérée que vous persistez à parler de mes « certitudes », au sujet desquelles j’avais pourtant apporté des précisions dans le courrier précédent toujours à votre disposition. Par ailleurs, je suis bien obligé de constater que vous n’avez jamais osé jusqu’ici avancer un seul argument contraire sur tel ou tel point particulier de ma correspondance !
Contrairement à vous, je demeure néanmoins toujours disposé à en débattre avec n’importe laquelle des soi-disant « élites » du monde de l’information, de la politique, de l’intelligentsia et des associations « droits-de-l’hommiste », dénoncées dans le texte « Mensonges et lâcheté des élites », qui s’avèrent jusqu’ici toujours aussi intellectuellement courageuses que vous pour avancer leurs arguments contraires aux miens.
Certes, face aux grands penseurs de l’humanité, mystiques authentiques (Cf. le Bouddha et le Christ, dans leur Parole non pervertie par la superstition religieuse qui a usurpé leur nom) et « vrais » philosophes du UN absolu (Socrate, Platon, Giordano Bruno, Spinoza et Brunner, notamment), il semble difficile, pour ne pas dire impossible, de démentir leur pensée inspirée par LA Vérité éternelle absolue
En conséquence, bonne continuation dans votre « collaboration » à l’œuvre funeste de la Superstition sous toutes ses formes et de désinformation généralisée de l’opinion !
Je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.
P S : Les éventuels défauts de présentation.....
 
 

Publié dans COURRIER "Médias"

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